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Eddar Darek, un concept artistique axé sur l'art et la culture. Des artistes y sont invités et interviewés dans un appartement au cœur d’Alger où ils ont l'occasion d'exposer et évoquer longuement leurs travaux dans un format de questions / réponses innovant et dynamique. L'objectif principal de cette initiative est de promouvoir les différents acteurs et créateurs issus de la scène algérienne.

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La pétillante Hania Zazoua, fondatrice de l'espac

La pétillante Hania Zazoua, fondatrice de l'espace artistique @issue_98 et créatrice d'objets onirique @brokkart était notre invitée.

Vous avez manqué son interview ?

Rendez-vous sur notre page facebook et notre chaîne YouTube pour (re)voir l'entretien dans son intégralité :

www.facebook.com/eddardarekmagazine

www.youtube.com/eddardarek

#interview #elhiwar #guest #haniazazou #aka #haniajung #alias #princessezazou #artist #designer #dz #algerie #algeria #talent #inspiration #inspirational #creative #arts #eddardarek

🎬 Hania Zazoua alias Jung Hania, créatrices de

🎬 Hania Zazoua alias Jung Hania, créatrices des objets oniriques @brokkart et fondatrice de l'espace artistique @issue_98 est notre invitée ce soir !

📺 Interview disponible sur nos plateformes digitales !

Au cœur d'une galaxie très féminine, il y a Joa

Au cœur d'une galaxie très féminine, il y a Joaquin Phoenix alias Theodore. Une paire de lunettes et pantalons venus d'un autre temps, entre la farce d'anticipation et le hipster moderne, pour habiller ses yeux bleus et sa mine de chaton neurasthénique. En quelques minutes envoûtantes, Spike Jonze place son alter-ego dans un univers cotonneux, pion parmi d'autres dans une version lumineuse du Los Angeles de Blade Runner - les extérieurs ont été filmés à Shanghai.

D'un open space silencieux où l'on paye un inconnu pour trouver les mots adaptés à ses émotions, à un appartement moderne illuminé par un jeu vidéo nouvelle génération, Spike Jonze pose les briques d'un monde insaisissable, à la fois proche et lointain. En ça, il se rapproche de Charlie Kaufman, capable de peindre un univers insensé avec des couleurs banales - en l'occurrence, une superbe direction artistique, et la musique d'Arcade Fire.

Le tour de force du cinéaste repose d'abord sur le pari risqué de son scénario, centré sur l'histoire d'amour entre un homme de chair et une femme de bits. Lorsque la voix envoûtante de Scarlett Johansson est activée après une dizaine de minutes, le compte à rebours s'enclenche, avec la crainte que l'idée s'épuise ou s'enlise en cours de route.

Ce qui arrive dans la dernière demi-heure, lorsque Samantha commence à s'éloigner de Theodore. Cette mascarade, très classique et bien moins significative que le reste, brise la chaîne émotionnelle d'un film conçu comme une douce rêverie. Une erreur réparée par la fin, qui évite de se heurter à ses limites pour mieux les transcender, grâce à une magnifique porte ouverte vers la science-fiction.

Mais la vraie puissance de Her est ailleurs : elle réside dans l'aptitude de Spike Jonze à donner vie à des personnages d'une infinie tendresse, capables de susciter une vive émotion en quelques minutes. Le meilleur exemple sera Olivia Wilde, fausse potiche qui crève le cœur en une scène. Amy Adams aussi, dans un rôle d'une douceur et d'une complexité déchirantes, qui offre à Theodore un contre-champ formidable.

#her #movie #cinekult #eddardarek #movies #masterpiece #spikejonze #joachimphoenix

Connu pour ses qualités de graphiste, sous fond d

Connu pour ses qualités de graphiste, sous fond de détournements devenus cultes via sa page @youcef.design

Il reprend du service, fidèle à lui même, avec cette fois-ci, des héros du petit et grand écran qu'on retrouve dans des lieux et situations insolites.

Retrouverez son interview sur notre site : www.eddardarek.com

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Arrivée en France en 1959 à la faveur d’une séance d’enregistrements de jeunes chanteurs algériens (chez Teppaz), elle découvre Paris, ses lumières et la grande famille des chanteurs maghrébins de l’exil. Elle connaît alors un immense succès auprès de la diaspora maghrébine jusqu’à obtenir en 1971 un disque d’or, chez Pathé Marconi, pour ses ventes de disques en France. Tout au long des années 1970, elle enregistre des Scopitones, ces fameux clips en couleur disponibles dans les bars algériens et poursuit sa carrière, sur les deux rives de la Méditerranée, aux côtés de son époux, l’auteur compositeur Kamel Hamadi. Voix des femmes, Noura saura chanter comme personne les affres de l’exil au féminin, les troubles du cœur, la passion ou la joie. Chanteuse fétiche des femmes algériennes en France, nombreux sont les enfants de l’immigration qui ont grandi au son de la diva et des chants de leurs mères, nostalgiques des montagnes du Djurdjura ou des rues d’Alger. Contemporaine des grandes figures maghrébines de la chanson aujourd’hui disparues, tel Lili Boniche en 2008, Warda El Djazaïria en 2012, ou encore Chérifa cette année, elle disparaît alors qu’émerge une mémoire de l’immigration qui prend en compte l’apport culturel de ces artistes de France.

En 2008, quand Mouss et Hakim, membres du groupe Zebda, remettent à Noura et Kamel Hamadi, les insignes de chevalier des Arts et des Lettres au nom de la République Française, c’est le symbole d’une transmission culturelle en terre de France qui se dresse, celui d’un héritage fécond, poétique et musical qui ancre dans les mémoires et dans l’Histoire ce répertoire de l’exil. Ces chansons créées, enregistrées et diffusées depuis les bords de Seine résonnent encore dans les coeurs de nombreux Français héritiers de l’immigration maghrébine mais aussi dans le pays d’origine de ces artistes. Ce patrimoine culturel en partage sur les bords de la Méditerranée doit nous interpeller sur notre incapacité à prendre en compte la richesse de ces trajectoires individuelles dans notre mémoire collective.

Son répertoire appartient néanmoins à notre patrimoine musical.

Amine Ounnas, jeune photographe algérien a choisi

Amine Ounnas, jeune photographe algérien a choisi pour thème la ville d’Annaba, dont il immortalise et raconte le quotidien de ses habitants en images et sous différents angles.

Les écritures murales trouvent foyer dans les ruelles étroites, des histoires entières écourtées dans des phrases désespérées, douloureuses, résumant beaucoup de journaux et de faits-divers, pour écrire le cri des gens, ils se voient absents, délaissés et oubliés, le désespoir joue son rôle… les cafétérias populaires et populeuses ont du bon, les discussions “foot” ou “politique” siègent aux tables comme aux langues, beaucoup de fumée et de café… le fameux – va tout – “du nouveau ? Les visages dans ce pays t’épargnent mille contes…ils sont éloquents. Nous sommes un peuple qui cache beaucoup de racisme et d’insatisfaction devant la différence de sa société et ce dans ses propres discours, il se peut que ça soit dû à la grande accumulation sociale et culturelle, si une personne ne s’applique pas à faire la tâche on lui plaque une citation populaire qui veut littéralement dire : « bâcle et donne au myope » – Ka3wer Dez La3wer -, qui veut dire qu’on néglige beaucoup ceux qui sont myopes…parfois, même ceux qui mettent des lunettes, un autre exemple l’utilisation du terme « barbu » – Boulahia – pour ceux qui se laissent pousser la barbe… et il est très rare de voir d’autres barbus se faire classer socialement ainsi , je vois qu’il est juste de reconsidérer notre culture sociale… car c’est un réflexe automatique quand les accumulations se tassent dans la pensée humaine. » – Amine Ounnas

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🎬 @lhomme_jaune est notre invité ce soir !

📽 Découvrez qui se cache derrière ce personnage fascinant, dont les œuvres ont fait le tour des galeries locales et internationales !

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🎬 Nombreux le connaissent sous le pseudonyme de

🎬 Nombreux le connaissent sous le pseudonyme de @lhomme_jaune ...

📺 L'artiste peintre @yasser_ameur, celui dont les œuvres ont fait le tour du monde sera parmi nous demain soir à 20h !

#eddardarek #elhiwar #exclusive #interview #guest #painting #art #hommejaune #lhommejaune #yasserameur #figuratif #art #nortyparis #artist #inspiration #entertainment

Tel un Kubrick ou un Terrence Malick, Kenneth Lonn

Tel un Kubrick ou un Terrence Malick, Kenneth Lonnergan est un cinéaste qui sait se faire désirer. Il a débuté sa carrière en 2000 avec "You can count on me", l’a poursuivie onze ans plus tard avec "Margaret", puis il aura fallu attendre cinq ans pour découvrir son nouveau film "Manchester by the Sea", avec lequel il explore de nouveau le thème de la culpabilité. Il en avait déjà eu l’occasion avec son deuxième long-métrage, en en faisant une source de motivation qui entraînait l’héroïne dans une quête de justice. Mais ici, au contraire, il en aborde le versant tragique, car elle devient une cause de résignation et de haine de soi, qui conduit à l’inertie.

C’est une thématique passionnante qui inspira de grands moments de cinéma, comme lorsque l’officier de marine, qu’interprétait Peter O’Toole dans "Lord Jim" de Richard Brooks (1965), se mortifiait de honte après avoir lâchement abandonné un navire rempli de voyageurs car il était persuadé, à tort, que celui-ci était sur le point de sombrer dans la tempête qui le menaçait. Etant malgré tout un homme d’honneur, il passa dès lors une partie de son existence à se morfondre, indigné par sa propre lâcheté. Ici aussi, le personnage principal vit dans le remord. Mais ce qui fait l’originalité du film, c’est qu’on ne l’apprend pas tout de suite. On est d’abord face à un homme triste, alcoolique et désagréable, dont on ne connait pas le passé. Celui-ci ne nous sera révélé qu’à mi-parcours grâce à des flash-back, ce qui nous fait soudainement prendre conscience de l’état émotionnel du héros, dont on comprend alors le comportement. Tout le sujet de l’histoire est alors de se questionner sur la manière dont on peut continuer à vivre tout en étant condamné à supporter un poids aussi lourd.

La réussite du film tient avant tout à la performance de Casey Affleck, dont le personnage semble véritablement accablé et torturé par son fardeau, et pour lequel il a obtenu un Oscar du meilleur acteur. Ici, tout repose sur les non-dits et l’étouffement des sentiments face à un passé qui resurgit inévitablement. On pense alors au "Choix de Sophie" d’Alan J. Pakula qui lui aussi recourait au même procédé.

Merveilleuse représentation du port de Ghazaouet,

Merveilleuse représentation du port de Ghazaouet, Tlemcen [Algérie] par l'artiste peintre Rachid Talbi

Né le 29 octobre 1967 à Beni Mellal - Maroc, Rachid Talbi est diplômé en 1992 suite à des études supérieures au sein de l'université d'Es-Senia d'Oran, dans la filière Microbiologie.

Artiste peintre Autodidacte.
Membre de l'Union Nationale des Arts Culturels

Après ses études universitaires, Rachid Talbi choisit de faire de son don pour la peinture, son métier. Dans les années 2000, sa carrière artistique prend un tournant florissant quand il devient artiste permanent à la galerie Dar El Kenz d'Alger. Doté d'une activité artistique très riche, il participe à des événements liés à la peinture dans les Musées, galeries et lieux culturels de plusieurs villes d'Algérie.

Il expose régulièrement au salon du Maghreb à Paris. Certaines de ses toiles ont été acquises par les Ambassades de France, du Venezuala et des Etats Unis à Alger ainsi que par la Présidence de la République algérienne et la Mairie de Paris. En 2009, il a été gratifié d'un courrier de Reconnaissance de sa Majesté le Roi du Maroc, Rachid TALBI lui ayant offert une toile lors de la Fête du Trône.

Parvenu à l'apogée de son art, Rachid Talbi a le souci de transmettre son savoir-faire à la jeune génération. Dans ce cadre, il dispense occasionnellement des cours magistraux aux étudiants de l'Ecole des Beaux-Arts de Mostaganem. Il anime également des ateliers pour des petits groupes d'étudiants privilégiés afin de les accompagner et les soutenir dans l'évolution de leur art.

Rachid Talbi est un peintre figuratif contemporain qui utilise toutes les techniques pour exprimer son art : l'huile, l'aquarelle, l'acrylique, le pastel, le fusain et le crayon. De sa touche lumineuse et colorée découlent des scènes de la vie quotidienne, des portraits, des fantasias, des marines, des natures mortes...

Natif de Beni Mellal au Maroc et très attaché à son pays natal, Rachid Talbi y retourne régulièrement et le représente dans nombre de ses œuvres. L'Algérie, et en particulier la ville d'Oran, reste sa grande source d'inspiration.

Né à Sig, près d’Oran (Algérie) et arrivé e

Né à Sig, près d’Oran (Algérie) et arrivé en France à 10 ans, Rachid Taha plonge dans le rock et le punk. Il n’a pas cessé d’orientaliser le rock, puisant dans le répertoire nord-africain, notamment algérien, et moyen-oriental. Ya rayeh (L’exilé) de Dahmane El Harrachi, autre immigré algérien, tirée de son album Diwan, a connu un succès planétaire. Et c’est avec cette chanson chaabi (pop-folk, genre algérien) qu’il est convié à participer au mythique concert de Bercy en 1998 avec Khaled et Faudel pour le spectacle 1,2,3 Soleils.

Avec El Menfi (Le banni), chanson interprétée par Akli Yahyatène, il évoque les conditions pénitentiaires des indépendantistes algériens en Nouvelle-Calédonie (1864-1897) et la guerre d’indépendance (1954-1962). Et son combat contre l’extrême-droite avec le titre électro Voilà voilà, un hymne à la résistance contre le fascisme.

Ses artistes préférés égyptiens, dont il a réinterprété des chansons, sont la diva Oum Kalthoum et Abdelhalim Hafez. Avec Agatha, une reprise de l’artiste camerounais Francis Bebey, mort en 2001, Rachid Taha chantait la tolérance et le métissage. Pour les puristes du rock, sa version de Rock the Casbah des Clash en 2004, unanimement saluée par la critique, reste un classique incontournable.

L’artiste algérien qui a orientalisé le rock décède en août 2018, terrassé par une crise cardiaque.

L'une des anciennes maisons de la ville de Laghoua

L'une des anciennes maisons de la ville de Laghouat.
La maison de Hajj Ahmed Moulay - «le juge» - dans le quartier de Chitt.

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🎬 @ahmed.aitissad était notre invité hier soi

🎬 @ahmed.aitissad était notre invité hier soir !

📽 Passionné de photo, il raconte les scènes du quotidien, les histoires d’hommes et de femmes rencontrés par hasard... en images

Pour Eddar Darek, il est revenu sur son parcours et son récit intimiste de l'@algerievuedenbas

Retrouvez l'interview en intégralité sur notre chaîne YouTube

[Vous trouverez le lien dans la colonne Bio]

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🎬 Son credo c'est la phonographie il se défini

🎬 Son credo c'est la phonographie
il se définit comme : conteur photographique

📺 Le fondateur d' @algerievuedenbas, @ahmed.aitissad sera parmi nous ce soir à 20h !

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Alors que l'année 2020 touche à sa fin, nous ten

Alors que l'année 2020 touche à sa fin, nous tenions à partager avec vous, notre tout nouveau générique !

Cette nouvelle mouture illustre parfaitement notre désir de créativité et l'ambition de proposer à nos auditeurs le meilleur de l'art et la culture, à savoir : des artistes pluridisciplinaires, issus des quatre coins du pays.. et dont nous avons espoir un jour de contribuer modestement à les faire connaître aux quatre coins du globe et pourquoi pas envisager une fusion entre nos artistes locaux et internationaux et de là donner naissance à des projets multiculturels qui briseront les frontières et casseront les barrières socioculturelles entre les peuples !

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Des fans des Simpson parmi nous ? L'artiste plur

Des fans des Simpson parmi nous ?

L'artiste pluridisciplinaire Efix originaire de Montpellier (France) s'est amusé à incruster Homer, Marge et autre Bart et Lisa dans les rues et parfois même dans des situations pour le moins insolites.

Comme c'est le cas pour Lisa Simpson jouant du saxo sur un tuyau sortant du mur ou Bart Simpson qui plante un dunk, alors accroché à un panneau de signalisation routier... Vous l'aurez compris, le street-artist héraultais a un penchant particulier pour l’art éphémère avec des collages.

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À tous les passionnés d’art et du septième ar

À tous les passionnés d’art et du septième art, et plus particulièrement de l’œuvre de René Magritte, ce film est fait pour vous, certes ancien, mais n’a pas pris une ride, surtout au vu des récentes productions américaines.

The Thomas Crown Affair, n’est autre qu’une réplique du tout premier film sorti alors en 1968, où Steve McQueen donnait la réplique à Faye Dunnaway, qu’on retrouvera d’ailleurs dans le rôle du psy’ de Thomas Crown, dans cette remake de John McTiernan, le réalisateur à qui on doit des films comme le 13e Guerrier.

Pour cette nouvelle version, plus que jamais placée sous le signe du glamour, McT, a choisi Pierce Brosnan, le plus charismatique des acteurs irlandais, fort de son succès dans le rôle du plus célèbre des espions britanniques au service de sa majesté : James Bond, pour incarner Thomas Crown, richissime homme d’affaires … et gentleman braqueur à ses heures. Dans le rôle de la mante religieuse, le choix s’est porté sur la délicieuse Rene Russo, une femme dont il est difficile d’y résister.

Ce remake se distingue du précédent parce qu'il a été remodelé, remodifié, avec un script retravaillé. Aussi, et il faut le rappeler, même si ce film, est loin d’être la meilleure œuvre de John McTierman, il a néanmoins le mérite d’en être le plus élégant. Une raison de plus ? Le nouvel opus de Thomas Crown se distingue de son aîné, par sa fin heureuse, qui aurait pu paraître kitsch si ce n’est le génie de McT et sa logique narrative d’une précision remarquable, ce dernier prend d’ailleurs un malin plaisir à prendre son spectateur par surprise par un jeu de manipulation dont il en a le secret.

[LE CLOU DU SPECTACLE]

Une séquence référence, une scène qui restera sans doute longtemps gravé dans les annales, en rapport justement avec l’œuvre de « The Son Of Man » peinte par René Magritte, où il est question d’échange de chapeau, parfaitement illustré par le rythme de la musique de « Sinnerman » dont l’interprète n’est autre que la merveilleuse Nina Simone..

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Everyday Routine, un concept photo, dont on vous l

Everyday Routine, un concept photo, dont on vous laissera le soin de deviner qui en est le digne fondateur. Ce dernier a eu l’idée à travers son projet, de dévoiler une autre facette de la ville blanche, vidée de toute présence humaine.

Sachant que ces photos ont été prises avant la pandémie, on serait tentés de penser que l'auteur y est pour quelques chose!

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A.K.M est un DJ et producteur algérien, il est au

A.K.M est un DJ et producteur algérien, il est aussi membre fondateur de ALGERIA TECHNO MOVEMENT, fort d'une longue expérience dans le domaine de la musique techno, il se lance très jeune dans la production.

Il y a de cela 3 ans, il avait d'ailleurs remixé un grand de nom de la scène musicale algérienne Hamid Baroudi et son célèbre « Caravane To Baghdad »

« Ce morceau résume bien notre identité, le folklore, une fusion de sons étrangers modernisés avec des outils électroniques » précise Akm et d'ajouter : j'ai essayé de ne pas dénaturer le track pour qu'il demeure un classique et qu'il ne soit pas victime de la tendance et l'usure du temps. »

Il lui a fallu 6 mois pour finaliser ce projet qui lui tenait tant à cœur, « c'est le projet qui m'a pris le plus de temps, j'ai même du le finaliser chez mon ami Badri de Casbah Studio qui a mis à ma disposition son studio pour perfectionner le remix et le masteriser proprement » à chaque fois que j'avançais dans la composition, je découvrais de nouvelles possibilités, sachant que le track est tellement riche, il m'arrivait de tomber sur des samples amusant sur la mesure du 2e snare... à la question de savoir pourquoi cela a pris autant de temps, il répondit : Beaucoup de gens ont tendance à croire que le sampling dans un remix et une composition originale sont faciles or, c'est tout le contraire. Car, souvent en reprenant l'œuvre de quelque uns on est souvent limités, par conséquent ça nécessite un sérieux travail de précision et de concentration pour arriver à créer la bonne harmonie entre chaque parties du morceau,
Abdelkader ne compte pas s'arrêter en si bon chemin puisqu'il travaille d'ores et déjà sur d'autres projets de remixes à venir, avec toujours l'ambition et la même volonté de contribuer au rayonnement du patrimoine musical algérien, il nous a d'ailleurs confié que le prochain musicien auquel il a décidé de s'y consacrer n'est autre qu'Ahmed Malek. Affaire à suivre!

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🎬 très heureux de vous dévoiler notre tout no

🎬 très heureux de vous dévoiler notre tout nouveau générique !

À découvrir lors de notre prochain numéro !

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